Soirée en amoureux....

Clark venait tout juste d’arriver à la plage... Il avait du passer chez lui afin de prendre quelques objets. Et en profita pour prendre une douche et se changer. Il ne portait rien de bien extravagant, un simple jean et une chemise…

En chemin vers la plage, il s'était d'abord arrêter chez le fleuriste afin d'y acheter une rose rouge pour Carmen et une seule! C'était bien plus romantique pensait-il, puisque Carmen était la seule femme de sa vie.

Puis il s’était arrêté dans un petit commerce ou l’on y vendait de bon vin. Il y acheta une bonne bouteille de rouge, un Cabernet, vin d’Espagne et l’un de ses vins fétiches. Il opta ainsi pour un vin de dessert conseillé.

Il avait aussi apporté des fromages divers, des biscottes, des pâtés, des truffes aux chocolats, des canapés, etc. Il avait mis le tout dans un petit panier. Connaissant bien l’endroit, il avait aussi apporté des couvertures afin qu’ils ne prennent pas froid.

En attendant sa douce, il plaça une couverture par terre pour ne pas que Carmen s’assise pas par terre puis s’assied par terre l’attendant.

Carmen arriva à la plage. Elle venait de revenir de chez elle. Durant la demi-heure qu'elle s'était accordée, la jeune Pom Pom Girl's avait prit une douche rapidement, puis sécher ses cheveux. Ses derniers tombaient en une belle cascade jusqu'au milieu de son dos. Elle s'était ensuite maquillée un peu, puis enfiler un jean trois-quarts délavé et une camisole turquoise. Elle s'était réchauffer avec une veste blanche. Carmen avait ensuite prit ses clés de son auto, enfiler rapidement ses souliers avant d'aller retrouver son bel homme à la plage.

Carmen s'approcha de Clark, un large sourire fendant son visage d'ange. Elle était heureuse de pouvoir enfin passer du temps avec lui, ça lui avait tant manquer! Elle s'assit à côté de Clark, l'embrassa doucement avant de regarder sa montre. Elle était seulement deux minutes en retard vu les embouteillages de son quatier. La jeuen femme reporta ensuite son regard vers son amoureux, la même lumière éclairant son regard charmeur.

Clark vit au loin sa Carmen arriver sur la plage. Elle était comme a son habitude tout a fait resplendissante. Il l’a regarda et ne la lâchant pas une seule seconde du regard. Elle arriva finalement a sa hauteur et il lui fit l’un de ses plus beaux et charmant sourire. Puis elle prit place à ses côtés et l’embrassa. Baiser que Clark prolongea tout juste avant de lui tendre la rose.

A ce même moment, l’amoureux lança a la blague, a celle qui lui avait plus tôt demandé de ne pas être en retard;

Tu es en retard de deux minutes, mon amour!

Puis, il lui vola ensuite un baiser avant de reprendre.

Mais ces deux minutes supplémentaires d’attente, en valaient le coup. Tu es ravissante Carmen!

Carmen saisit délicatement la belle rose rouge, sa fleur préférée. Elle trouvait en celle-ci une beauté sans nom, une source d'espoir innépuissable. Elle lui rendit un second baiser comme remerciement. Ensuite, elle prit un air faussement fâchée et insultée.

- Tu ne vas pas me faire la morale pour deux minutes! Les embouteillages, ce n'est pas de ma faute! fit-elle la comédie. La prochaine fois que monsieur arrivera quelques secondes en retard, je lui ferais savoir!

Elle éclata ensuite de rire, n'étant pas très douée pour jouer le jeu très longtemps. Elle reporta ensuite son regard vers son amoureux et le regarda amoureusement.

- Qu'as-tu ammené? voulut-elle savoir en regardant subtilement le panier qui semblait, visisblement, bien remplis.

Carmen saisit la rose puis l’embrassa avec tendresse, geste qu’il traduisit bien sure positivement. Ce n’était pas grand-chose, mais cela pouvait avoir une grande signification. La rose rouge,n’était-elle pas signe d’amour et de respect ?

Carmen leva en un instant, le ton de son habituel, douce voix. Elle avait de nombreuse qualité et tant de talent, mais la comédie n’en fesait pas réellement partie. Sans doute, parce qu’il l’a connaissait bien. Il souria légèrement, laissant Carmen terminé sa scénette. Puis lorsqu’elle éclata de rire, il applaudit et lanca d’abord a la blague.

Tu t’améliores mon amour ! Et puis, pour ton retard … Tu sais, mieux vaut tard que jamais !

Elle lui demanda ensuite ce qu’il avait emporter. Il pris d’une main le panier qu’il approcha.

Rien de bien spécial, tu sais je n’en ai pas eu le temps. Et puis, tu connais mes talents en cuisine ! Je me débrouille simplement. Bref, j'ai pensé apporté des fromages, des patés, biscotte... Truffes, etc.

Il sortit en même temps deux coupes, puis l’une des bouteilles de vin. Le Cabernet. Il leur servit puis en tendit une a sa douce et s’en garda une qu’il leva afin de porté un « toast ».

A notre couple.

Carmen éclata de rire devant ses supposés progrès en comédie. Clark la connaissait trop bien pour croire qu'elle était réellement fâchée.

- Tu as parfaitement raison, rigola-elle un peu avant de reprendre son sans froid.

Un large sourire fendait encore le visage de la jeune Pom Pom Girl's lorsque le beau basketteur approcha le panier des deux amoureux. Carmen connaissait bien les talents de Clark, la cuisine fesait partit de ses talents aussi bien que la comédie pour ceux de la jeune femme. Elle saisit délicatement une des coupes que Clark venait de remplir et l'embrassa doucement.

- À notre couple! répliqua-elle, les yeux brillants. Que ce dernier dure plus longtemps que la bouteille!

Gardant toujours le même perpétuel sourire, elle but la première gorgée de son vin. Délicieux...

Carmen, tu devrais savoir depuis le temps qu’on se connaît que je n’ai jamais tord. Au contraire, le célèbre basketteur Clark Hamilton a carrément la vérité absolue!

Souriant, il lui fit un clin d’œil et ensuite Clark bu lui aussi, à ce même moment, un peu de son vin rouge. Evidemment, il bu a leur santé ainsi qu’a la longue vie de leur couple. Puis il regarda longuement sa compagne dans les yeux.

Ce vin, tu l’aimes bien ? Je ne savais pas trop quoi prendre au départ. M’ais, j’ai finalement opté pour celui-ci... Je crois qu’il se mariera bien avec le tout.

Il l’a regarda puis lui souria.

Dis, tu veux casser un peu la croûte ? Ou ma princesse préfère allez marcher un peu ? Tes préférence, sont les miennes.

- Au contaire, je crains de te connaître un peu trop... souria-elle au beau basketteur.

Elle but une seconde gorgée de vin, sentant la chaleur de ce dernier descendre doucement dans sa gorge. Si elle aimait? Qui n'aimerait pas ce vin-ci? Carmen reporta son regard vers la mer et sourit avant de répondre.

- Il est magnifique, c'était un très bon choix, répiqua-elle avec un clin d'oeil complice.

Carmen écouta attentivement Clark, le regard brillant d'une multitude d'étoiles, tel un voile de lumière dans la nuit. Elle déposa la rose à ses côtés et reporta son regard sur son amoureux, un regard remplis d'amour, autant que la première fois.

- Je commencerais par manger... Ensuite, on ira marcher un peu, décida-elle. Qu'en penses-tu?

Il lui souria amusé, puis il l’a questionna sur ce qu’elle venait de dire.

Ah bon, tu crains de me connaître un peu trop ? Que veux-tu dire mon ange ? Et puis, tu sais, ce n’est pas une mauvaise chose. Tu as même, beaucoup de chance.

Il lui souria a nouveau, bien heureux d’être en sa compagnie. Puis, il fut aussi, il faut l’avoué, heureux de savoir que son choix lui plaisait. Après tout, il voulait seulement lui faire plaisir.

Si c’est ce que tu veux, sa me convient parfaitement mon ange!

Il se pencha légèrement, lui volant ainsi un rapidement baiser. Puis il approcha un peu plus la panier sortant par le fait même les articles s'y trouvant.

Carmen ne trouva rien à répondre. Elle savait déjà la chance qu'elle avait de bien connaître le beau basketteur, et ce n'était pas elle qui allait s'en plaindre. La jeune femme se contenta d'un second clin d'oeil complice et d'un regard doux. Les mots n'étaient pas toujours nécessaire, et Carmen le savait bien. Clark lui vola un rapide baiser avant de rapporcher un peu plus le panier, puis sortir les articles qui s'y trouvaient, ce qui fit sourire la fit sourire de plus belle. Elle jeta un coup d'oeil sur ce qu'avait acheté Clark...

Tout en sortant, les aliments et mets se trouvant encore dans le panier, il lança à la blague.

Tu m’excuseras mon amour de n’avoir pas réellement préparé quoi ce soit par moi-même, mais en même temps tu connais mes talents culinaires, alors! Et puis, je ne voulais pas risquer de t’intoxiquer, je tiens trop a toi.

Il l’a regarda, suite a ce qu’il venait de dire, avec un grand sourire. Puis il termina de sortir le tout. Profitant, par le fait même, de ce moment pour remplir quelque peu la coupe de son amoureuse, étant encore bien pleine.

Il n’avait pas pensé apporter d’assiette, c’était bien lui! Mais comme, pour la plupart, venait sois du commerce ou du restaurateur … Sa ne posait pas, de bien grand inconvénient.

- Tes talents culinaires ne sont pas si pires que tu laisses croire! répliqua-elle immédiatement. Le seul défault, c'est que tu ne te pratiques pas assez. Tu préfères opter pour le restaurant ou par mes talents culinaires. Si tu te pratiquerais, tu pourras devenir meilleur, mon amour!

Elle souria, but une gorgée de sa coupe que Clark venait tout juste de remplir et regarda les plats qu'il sortait un à un. Elle ne put s'empêché de rire devant l'air de son amoureux lorsqu'il s'apperçut qu'il avait oublié les assiettes.

- Ce n'est pas grave, mon coeur! On va s'en passer...

Oui eh bien, pour les assiettes, nous n’avons pas réellement le choix …

Il lui souria.

Et puis, pour ce qui est de mon talent culinaire… Ou devrais-je dire de mon manque de talent culinaire … Ce n’est tout de même pas de ma faute, si mon amoureuse ne ma laisse qu’une demi-heure pour tout préparer! Alors qu’elle, ne l’oublions pas, arrive en retard de deux longue minutes!

Suite a ce qu’il venait de dire, il lui fit un clin d’œil.

Malgré que nous manquions d’assiette, j’espères que cela te plaira.

Carmen éclata de rire.

- Que tu peux être exigeant parfois! souria-elle par la suite.

Elle lui rendit son clin d'oeil complice.

- Alors, tu me sers, mon amour? demanda-elle avec un regard charmeur.

Le vent était doux, les cheveux de Carmen virvoltaient tranquillement. La jeune femme se perdit dans le regard sombre de Clark, ses yeux brillants toujours de la même lumière. Elle attendit passiament qu'il lui répondre, ou qu'il fasse quelque chose...

Quoi ? Moi je suis exigeant! T'es pas croyable! C’est quand même toi, qui viens de me demander de te servir! Ah les femmes, je vous jure! On ne peut pas vivre avec elles, mais on ne peut pas s'en passer pour autant!

Il pris une serviette en papier, car oui, il y avait penser! Puis il servit Carmen, en réalité, cela ne le dérangeait pas réellement.

Tiens, sa te convient comme sa, sa majesté.

Il lui tira la langue gentiment, puis il lui fit un grand sourire. Se servant également, par lui même a son tour.

Carmen se mordit la lèvre inférieur pour ne pas répliquer quelque chose qu'elle aurait ensuite regretter. Elle se contenta de hausser gentilement les épaules, de prendre délicatement la serviette remplie de biscottes et de fromages divers avec un petit sourire en coin. Avant d'y goûter, la jeune femme alla voler un baiser sur les lèvres de Clark.

- En espérant que tu me pardonnes, mon ange! souria-elle avant de commencer à manger.

Il soupira. Sa réaction du moment fut peut-être quelque peu exagérée. Mais il était parfois susceptible et il réagissait par moment trop fortement. Cette fois, Carmen semblait l’avait mal pris. Et ce même si elle, elle réagissait plutôt bien extérieurement. Clark savait bien que ce n’était sans doute pas le cas intérieurement!

-N’exagère pas, Carmen! Je ne suis pas fâcher! Et puis, tu sais bien que je suis incapable de rester fâcher très longtemps contre toi … Surtout lorsque tu me regarde ainsi et me sourit de cette manière…

Il lui pris la main puis il y déposa doucement un baiser.

Carmen soupira doucement. Certe, la réaction de Clark avait été un tant soit peu exagérée, mais elle n'avait pas du être autant susceptible. Elle avait touché un des points faibles du beau basketteur, c'était donc en partie sa faute également. Lorsque le jeune homme déposa un baiser sur sa main, façon de s'excuser, la jeune femme ne put réprimer un faible sourire.

- Ce n'est pas si grave, répondit-elle. Oublions les dernières minutes, et continuons notre soirée, d'accord?

Clark s'était, il faut l'avoué sentit, a la suite de sa trop excessive réaction, bien stupide. Tout cela était bien pour des assiettes ? Il avait déjà oublié ce qui avait causé ce court semblant de dispute. L'une des rares qu'ils avaient eu d'ailleurs.

-Oui je suis d'accord mon ange! Et puis, pour ma part ces derniers instants sont déjà chose du passé et oublié.

Il lui fit alors l'un de ses plus beaux sourire la regardant dans les yeux. Puis il baissa les yeux et mangea un peu. Il eut a ce moment, quelques instants de silence. Puis le jeune homme releva les yeux et il lança a la blague a sa Carmen ;

-Tu veux que je te resserve quelque chose mon coeur?

Carmen perdit le reste de sa rancune lorsque Clark la regarda durant quelques instants dans les yeux, un de ses plus beaux sourires au bout des lèvres. Il détourna ensuite le regard et mangea un peu, chose que la jeune femme fit à son tour. Elle prit ensuite une gorgée de vin, sa coupe étant maintenant à moitié pleine, ou à moitié vide. Elle souria doucement à Clark.

- Non merci, répondit-elle avec un regard complice. J'ai assez manger ainsi...

Carmen était une jeune femme qui ne mangeait pas beaucoup, n'ayant pas une très grande appétit, contrairement à son amoureux.

Clark hocha la tête, il ne fut pas surpris de la réponse d’ailleurs la connaissant bien c’est celle-ci qu’il attendait... Carmen ne mangeait que peu et puis après la scénette qui venait tout juste de se terminer, heureusement par une rapide « réconciliation » ce n’était pas étonnant. Il but à son tour un peu de son vin puis il remplit a nouveau leur deux coupe.

Il continua de manger pour le moment, lui jetant parfois quelques coups d’œil. Il n’avait lui non plus, pas très faim ce soir la. Il termina alors de manger termina par le fait même sa coupe puis il rangea un peu mettant le panier un peu plus loin a ses côtés. Puis il regarda sa belle Carmen.

-C'était bien ce repas ? C'était préparer avec amour je te l'assure! Pas par moi, mais c'est tout comme... Et puis maintenant, que veux-tu faire ? Tu veux qu’on aille marcher un peu sur le bord de l'eau… ?

Le regard de Carmen dérivait entre les vagues qui venaient fouetter le sable non loin d'eux et le beau Clark pendant que ce dernier finissait de manger.

- Merci beaucoup mon amour, souria-elle lorsqu'ils eurent finirent de boire tout le vin et manger ce que Clark avait ammené.

Elle l'écouta attentivement, et comme à son habitude, Carmen eut l'impression de se perdre dans le regard attentionné du jeune homme. Elle continua de sourire.

- Une ballade sur le bord de l'eau serait fanstastique, répondit-elle.

Carmen lui dit, en d’autres mots, qu’elle aimerait bien aller marcher sur le bord de l’eau. Clark se pencha d’abord légèrement vers elle, et il l’embrassa tendrement. Puis il se leva, presque aussi tôt. Il lui tendit ensuite l’une de ses mains afin d’aider son amoureuse a se relever. Son regard, ainsi plongé dans celui de sa douce il lui dit d’une voix « douce ».

-Tu sais, avec toi, tout devient plus que fantastique… Avec toi, tout est parfait. Tu es parfaite!

Il l’a regarda un moment. Clark garda la main de sa belle, dans la sienne, entrelaçant ainsi ses doigts aux siens.

Carmen était complètement absorbée par le regard du beau Clark. Elle aurait voulut prolonger ce doux baiser amoureux quelques instants de plus, mais le jeune basketteur s'était levé trop rapidement pour qu'elle en aille la chance. Elle prit donc délicatement la main de Clark, après avoir rougit sous les compliements, et se leva avec facilité. Une fois de bout, elle ne se gêna pas pour embrasser avec amour le beau jeune homme. Après tout, qui l'aurait enpêcher? Carmen serra doucement la main de Clark, toujours entrelacé dans la sienne.

Une fois debout, Carmen embrassa a nouveau le jeune homme. Ce qui n’était pas pour le déplaire. Ils prolongèrent un moment le doux baiser de cette dernière puis il s’éloigna quelque peu d’elle tenant encore d’une main, la main de la jeune fille. Il lui caressa alors doucement la joue, de sa main libre regardant par le fait même cette dernière dans les yeux. Parfois, un simple regard voulait tout dire, beaucoup plus que des mots. Ce moment était l’un deux. Ils se regardèrent sans rien dire, pendant un certain moment profitant de ce beau moment.

Après un certain temps, Clark pris la parole.

-Est-ce que tu as froid, ma princesse ?